Fréquentes questions posées sur la chirurgie esthétique vaginale

Questions fréquentes posées par les patients

Voici quelques questions et commentaires qui m'ont été posés par des patientes !

Mes petites lèvres pendouillent et ça me gêne énormément du point de vue esthétique et moral.
Avec mon ancien petit ami, on n'en a jamais parlé, et ça n'avait pas l'air de le gêner. Mais là, je suis célibataire à nouveau, et j'avoue que ça crée un vrai blocage pour moi. Ca me gêne à tel point que je n'ose plus aller à la piscine. J'ai 26 ans et je suis très complexée par ce problème très intime. Je croyais être la seule mais je constate que ce n'est pas le cas.

Autrefois, seuls les hommes connaissaient le sexe des femmes, Rares étaient en effet celles qui se munissaient d'un miroir pour aller voir comment elles étaient faites. Aujourd'hui, le sexe devenu "politiquement correct" prend une visibilité comme il n'en a jamais eu. Conséquence: on s'intéresse à la forme de ses petites lèvres comme à celle de son nez et de ses seins. Et de plus en plus de jeunes filles se demandent si leur sexe correspond bien aux normes esthétiques en vigueur. 

Pourriez-vous me dire quels sont les dimensions du sexe féminin et si il y a des dimensions idéales ?

Inutile de chercher, elles n'existent tout simplement pas!
En observant le vagin d'une cinquantaine de femmes, les conclusions montrent que les dimensions varient énormément d'une femme à l'autre.

Dans mes relations sexuelles, j'aimerais augmenter mes plaisirs et celui de mon mari.
Avec plusieurs enfants et maintenant la ménopause, mes tissus se sont relâchés et mon mari n'éprouve plus le même plaisir. Que pouvez-vous me proposer?

Pour augmentez votre zone érogènes, il est possiblede rehausser le point « G » par injection d’acide hyaluronique. On peut également procéder à une plastie vaginale dans le but de réduire le diamètre du vagin devenu trop lâche.

J'aimerais beaucoup pratiquer une intervention sur ma vulve car j'ai beaucoup de douleurs lors des rapports avec mon mari mais j'ai lu sur votre site qu'il existe une intervention qui pourrait me rendre la vie plus agréable.
Le problème c'est que je suis timide et j'ai une certaine appréhension à parler de mon vagin et de mon plaisir sexuel.

Oui c'est compréhensible. Il s'agit d'un moment où vous pouvez vous sentir mise à nu émotionnellement et physiquement. Il appartient au médecin de dissiper cette crainte et d'instaurer une relation de confiance. Il est essentiel d'accueillir chaque patiente avec le plus grand respect. De l'écouter, parfois au delà des mots. De rassurer et d'informer. De toutes les spécialités médicales, la gynécologie et sans doute celle qui exige le plus de tact et de mise en confiance de la part du médecin.

Certaines femmes sont très timides ou n'apprécient pas d'être interrogées sur les points qui touchent à leur vie privées, et celles au contraire qui brûlent de poser des questions mais n'osent pas le faire. Des patientes n'arrivent pas à parler, fondent en larmes parce qu'elles considèrent leurs organes ou la sexualité comme quelque chose de sale. Cela arrive souvent chez les victimes d'abus ou chez des femmes qui ont eu une éducation très stricte. Il ne se passe pas une semaine sans que je doive expliquer que le vagin est un organe noble et qu'il n'y a rien de honteux à toucher ses organes sexuels. Dans notre société le sujet n'est plus tabou et le droit à l'orgasme est revendiqué haut et fort.